Thomas, mon fils
Tu n’es plus là pour me parler, tu n’es plus là pour m’écouter.
Tu n’es plus là pour rayonner, de joie de vivre et de gaité.
Tu n’es plus là pour me sourire, tu n’es plus là pour me faire rire, pour partager ta bonne humeur et m’envoyer plein de douceur.
Ton absence est si cruelle, qu’elle me parait presque irréelle.
C’est trop injuste que la souffrance, ai remplacé tant d’espérances.
Mais comment faut-il faire, quand la vie devient presque un enfer ?
Il parait qu’il faudra des mois, des années, pour penser à toi sans pleurer.
Ta maman qui t’aime infiniment, Thomas mon fils, tu me manques tellement.